Le mouvement des Femmes Africaines dans la Santé Numérique (AWiDH) a été officiellement lancé lors de la 2ème Conférence Internationale Annuelle sur la Santé Publique en Afrique (CPHIA 2022), en décembre 2022 sous la direction de Africa CDC avec le soutien d'Amazon Web Services (AWS), Digital Health Network. , IntraHealth, UNICE, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal, Path et Qhala. Par la suite, un groupe de travail a été constitué pour co-créer la campagne phare AWiDH de la Stratégie de Transformation Numérique de Africa CDC ainsi que son plan d’action. L’objectif principal du mouvement est de combler l’écart numérique entre les hommes et les femmes grâce à une plateforme multidisciplinaire réunissant les parties prenantes travaillant sur les questions de santé afin d’assurer une collaboration et une coordination efficaces pour un engagement et un leadership significatifs des femmes dans le domaine de la santé numérique.

Le mouvement s’appuie sur trois objectifs stratégiques :

  1. Renforcement des capacités : accroître l'ensemble des compétences en répondant aux besoins de renforcement des capacités numériques des femmes afin de constituer un solide vivier de talents.
  2. Environnement favorable : Soutenir un environnement propice à l’entrepreneuriat féminin dans le domaine de la santé numérique
  3. Investissement : Garantir un investissement adéquat pour les femmes entrepreneures dans le domaine technologique de la santé numérique.

Plus précisément, AWiDH a pour objectifs spécifiques :

Le sport favorise l’égalité, puisque les mêmes règles s’appliquent à tout le monde. Face aux problèmes de déséquilibre entre les genres dans la société. Le sport est un levier essentiel pour accélérer l’égalité entre femmes et hommes puisqu’il confronte les normes de genre aussi bien sur le terrain qu’en dehors. La participation des femmes à des défis sportifs remet en question les stéréotypes courants et les rôles sociaux associés aux femmes. Outre leur faible participation aux sports, très peu de femmes occupent des postes de direction dans l’industrie du sport, que ce soit dans les bureaux, sur les courts ou sur le terrain. Par exemple, la représentation des femmes n’est pas équitable à des postes tels que entraîneur principal, arbitre ou dans le secteur de la gestion, du marketing et du management ou dans d’autres disciplines de l’industrie du sport.

Lancé par Speak Up Africa et la League Africaine de Basket (BAL ) « Teaming Up : Les LeadHERs d’Afrique rencontrent BAL4HER, un programme de mentorat sportif pour l’égalité des genres » Dans le cadre de cette initiative, six jeunes athlètes africaines ou futures dirigeantes de l’industrie du sport du Sénégal, d’Égypte et du Rwanda sont jumelées avec six dirigeantes de l’industrie du sport et invitées à participer à un programme de mentorat pour faire progresser l’égalité des genres et accroître le leadership et l’employabilité des femmes en renforçant leurs compétences, leurs connaissances et leur réseau.

En savoir plus

Reaching the Last Mile et Speak Up Africa lancent une initiative pour le leadership des jeunes sur le continent pour capitaliser sur leur potentiel à apporter de nouvelles solutions et de contribuer à l’élimination des Maladies Tropicales Négligées (MTN). 

Si l'Afrique veut faire des progrès significatifs vers la réalisation des objectifs de la feuille de route 2030 de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les MTN, il est primordial de tirer parti de leur énergie, leurs valeurs, leur motivation et leur connectivité pour changer la donne et améliorer l’accès aux interventions contre les MTN. Les jeunes ont un rôle essentiel à jouer dans la sensibilisation et dans la mise en place de solutions innovantes qui profiteront à l’élimination des MTN. 

Cette nouvelle initiative s’emploie à bâtir un réseau d’organisations dirigées par des jeunes engagés dans l’élimination des MTN au sein de leurs communautés et de leurs pays à travers des actions de plaidoyer et de leadership. L’initiative fournira 250 000 USD en subventions et formations à un minimum de 10 organisations dirigées par des jeunes au Sénégal et au Niger, sur une période de 15 mois. En plus de recevoir un financement, les participants bénéficierons d’un programme de mentorat et d’une formation, nécessaires pour contribuer aux instances de prises de décision, participer à l’élaboration de politiques qui impactent leur santé. Le réseau de soutien s’attèlera également à unifier et amplifier les voix des organisations dirigées par des jeunes en leur permettant de nouer des liens avec des pairs poursuivant la même vision, partager des connaissances et des solutions, et les faire bénéficier à leurs communautés.


 

Pour en savoir plus sur Reaching the Last Mile, visitez leur site web.

En tant qu’organisation dirigée par des femmes, l’égalité des genres fait partie de notre ADN. Tant que les femmes et les filles, dans toute leur diversité, ne pourront pas vraiment occuper des postes de direction, prendre des décisions et allouer des ressources, notre continent ne pourra jamais prospérer pleinement. Nous soutenons l’inclusion des femmes et des filles dans les tribunes publiques et en tant que leaders, c’est dans cette optique que nous avons lancé la campagne African leadHers. Nous les encourageons à participer activement aux espaces de décision. Nous aidons notre propre équipe et les organisations de la société civile avec lesquelles nous travaillons à mieux comprendre le rôle que joue le genre dans tout ce que nous faisons, et à veiller à ce que toutes nos interventions soient sensibles au genre.

La participation des femmes et des filles est la clé de l’avenir de notre continent. Elle dicte toutes nos actions. Notre travail dans ce domaine a consisté entre autres à susciter des discussions sur l’égalité des genres à travers le continent, à faire participer les leaders communautaires et religieux à des campagnes visant à briser les tabous autour de l’hygiène menstruelle. Nous soutenons et hébergeons également l’Unité de Coordination du Partenariat de Ouagadougou (UCPO), une organisation qui s’est engagée à doubler le nombre d’utilisatrices de contraceptifs modernes d’ici 2030, à créer une campagne visant à mieux faire entendre la voix des femmes et des filles dans la prise de décision en matière de santé, et bien plus encore.

Tout le monde mérite d’avoir accès à des installations sanitaires sûres et à de l’eau potable. En collaboration étroite avec des institutions infranationales, nationales et régionales directement responsables de l’assainissement, nous exhortons les dirigeants des pays à investir dans un meilleur accès à des services d’assainissement gérés de manière sûre et à l’eau potable dans leur pays. Nous aidons les gouvernements à élaborer des politiques et des réglementations adéquates, et nous travaillons avec des institutions telles que le Conseil des ministres africains chargés de l’eau (AMCOW) et l’Association africaine de l’eau et de l’assainissement (AfWASA) pour élaborer des lignes directrices et des politiques régionales qui donnent la priorité à l’assainissement.

Nous nous efforçons également de rassembler suffisamment de partenaires de plaidoyer crédibles pour aller encore plus loin et pour intégrer les discussions sur l’assainissement inclusif dans le discours public. Cela est étroitement lié à notre travail sur l’égalité des genres, y compris les efforts visant à améliorer l’accès aux produits d’hygiène menstruelle et à des toilettes adaptées et à faire en sorte que les femmes et les filles aient leur mot à dire dans la prise de décision en matière d’assainissement. Nous avons travaillé avec les gouvernements pour réduire le coût du traitement des déchets fécaux, mené des campagnes pour mieux sensibiliser le public à l’importance d’un assainissement équitable en Afrique de l’Ouest et organisé une bourse des médias à l’échelle du continent pour élargir l’accès à un assainissement de qualité.

Notre travail sur le paludisme s’appuie sur les stratégies nationales de lutte contre la maladie. Elles sont le point de départ de tout ce que nous faisons. Dans cette optique, nous soutenons les gouvernements et leurs partenaires à affiner ces stratégies et à allouer les fonds nécessaires à leur mise en œuvre. Nous veillons à ce que les dirigeants rendent des comptes, renforcent leurs engagements et s’efforcent de combler le déficit de financement du paludisme, qui s’élève à 3,8 milliards de dollars. Nous concevons et dirigeons également des mouvements de plaidoyer pour inciter les communautés et les médias à participer à la lutte contre le paludisme et à son élimination. Nous visons à créer un leadership durable et un financement national pour mobiliser l’action dans toute la société africaine afin de prévenir, de contrôler et enfin d’éliminer le paludisme. 

Au fil des ans, notre travail a consisté entre autres à collaborer avec les gouvernements pour accroître le financement national en faveur de la lutte contre le paludisme, à intervenir auprès du secteur privé pour obtenir sa contribution et à lancer un mouvement citoyen qui encourage tous les secteurs de la société à jouer un rôle actif dans la lutte contre le paludisme. 

Nous conseillons les responsables gouvernementaux sur les politiques qui soutiendront la recherche pour résoudre les menaces actuelles et futures pour la santé. Nous cherchons également à placer la recherche et le développement en bonne place parmi les priorités politiques, en vue de garantir un financement durable et à long terme dans ce domaine. Pour ce faire, nous invitons les organisations de la société civile à se joindre à nous pour réclamer plus de financements et de recherches dans la région. Dans le même temps, nous travaillons avec des scientifiques africains respectés pour renforcer leurs capacités de plaidoyer et de communication afin qu’ils puissent mieux partager des informations fiables avec les populations africaines. 

Nous nous engageons à faire en sorte que le programme de recherche de la région soit axé sur les priorités locales. Au fil des ans, nous avons fourni une tribune à des leaders scientifiques et des experts en santé africains respectés pour transmettre des informations fiables sur la COVID-19 aux populations africaines. Nous avons mis en place un groupe régional sur la recherche et nous avons entre autres décerné des prix à de jeunes entrepreneurs africains présentant des projets novateurs dans le secteur de la santé et encouragé l’harmonisation du secteur pharmaceutique dans la région. 

Avant propos

L'Afrique produit environ 2 % de la production mondiale de recherche, alors que la région compte 15 % de la population mondiale et 25 % de la charge de morbidité mondiale. La région africaine ne représente que 1,1 % des investissements mondiaux en R&D en 2016 et l'engagement des pays à allouer 1 % de leur PIB à la R&D n'est toujours pas respecté. La R&D en Afrique est principalement financée par le secteur public, avec des proportions importantes de financement dans de nombreux pays provenant de financements internationaux.

Speak Up AfricaL'objectif principal de l'association est de susciter une collaboration autour de la nécessité de plaider pour l'augmentation des investissements et l'avancement des politiques afin d'accélérer la R&D de nouvelles technologies de santé qui répondent aux défis critiques de la santé, tels que le VIH/SIDA, le paludisme, la tuberculose, la santé maternelle et infantile, et d'autres maladies négligées.En travaillant avec nos partenaires, nous plaidons pour des engagements sur l'innovation, le financement de la R&D des GH et l'harmonisation réglementaire du programme de recherche et de développement en matière de santé en Afrique francophone :

Réseau de santé numérique de l'Afrique de l'Ouest francophone

M. Jean Philbert Nsengimana

" Le temps de la santé numérique est arrivé. Nous sommes appelés à utiliser la technologie. Beaucoup plus. Avec des systèmes de santé numérisés, nous pouvons gagner du temps et accélérer la recherche, comme l'illustre le record mondial de création et d'acquisition des vaccins COVID 19. Il existe des systèmes numériques très sophistiqués qui pourraient contribuer à la lutte contre le paludisme. En tant que tel, la création d'un réseau régional multisectoriel formel et structuré [ReSAF], rassemblant les fils d'une communauté de praticiens et d'experts qui construisent et apprennent à partir d'expériences, de défis et de ressources communes, contribuerait certainement à un effort holistique coordonné dans tout le secteur de la santé pour le contrôle et la prévention des maladies. "

M. Jean Philbert Nsengimana, conseiller numérique en chef,
Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC)

Unité de coordination du ReSAF

Documents stratégiques du ReSAF

Analyse situationnelle
Identification des lacunes et stratégie du réseau
Lancement du réseau
Adhésion au ReSAF
Charte du réseau
Stratégie d'engagement du réseau
Étude de cas : le Sénégal sur la voie de la couverture sanitaire universelle grâce aux systèmes numériques
Donateurs et partenaires de développement Policy Brief Digital
Synthèse de la politique du gouvernement national - Numérique
Principes de gouvernance des données de santé

Médias et presse

Webinaire de lancement
webinaire de la stratégie d'engagement du réseau
La santé numérique en Afrique

Ressources

Révolutionner la collecte de données en Afrique sub-saharienne
Systèmes de collecte, archivage et statistiques en Afrique
Cadre de mise en œuvre de la stratégie mondiale pour la santé numérique dans la Région africaine de l'OMS
Site web de Le Tech Observateur
Site web de Kangame Consulting
Note d'orientation sur la santé numérique
Note bleue sur la santé numérique

Questions et commentaires

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Le Women Innovators Incubator est une initiative menée par la Fédération internationale des fabricants et associations pharmaceutiques (IFPMA) et Speak Up Africa visant à combler les lacunes en matière d'innovation en Afrique dirigée par les femmes et à s'attaquer aux obstacles supplémentaires auxquels elles font face pour faire passer leurs idées commerciales du concept à la mise en œuvre. Plus précisément, ce programme vise à développer les capacités d'innovation scientifique et d'entrepreneuriat des bénéficiaires afin qu'elles puissent faire passer leurs inventions au niveau supérieur. Les femmes qui participent au programme se rapprochent de la création d'une entreprise évolutive et durable visant à relever certains des défis les plus pressants en matière de soins de santé en Afrique.

Le Prix des Jeunes Innovateurs Africains, ancé en décembre 2020, a recueilli plus de 300 candidatures, toutefois, seulement 21% des candidatures provenaient de femmes. Le Women Innovators Incubator a donc été créé afin de s'attaquer aux déséquilibres importants entre les hommes et les femmes en matière d'accès au financement, à la formation et au développement des compétences, de réseaux professionnels et de participation globale à des environnements compétitifs.

Trois gagnantes ont été sélectionnées et bénéficient
Les lauréates de la première édition du Women Innovators Incubator sont :
Angella Kyomugisha

Co-PDG, Kaaro Health, Ouganda

Angella Kyomugisha est une ougandaise âgée de 29 ans, co-directrice générale et directrice financière de Kaaro Health Uganda Limited.

Elle est médecin de formation. Kaaro Health utilise des technologies mobiles simples pour apporter des soins de santé abordables et de qualité à chaque village en Afrique. L'entreprise déploie des cliniques conteneurisées utilisant la télésanté dans des villages qui n'ont pas de clinique dans un rayon de 25 kilomètres. Leur travail permet aux populations d'avoir accès à des professionnels de la santé qualifiés ainsi qu'à des équipements essentiels.

Nuriat Nambogo

Chef d’équipe, MobiCare, Ouganda

Nuriat Nambogo, ougandaise âgée de 35 ans, est la chef d'équipe de MobiCare.

Nuriat supervise l'ensemble du développement et de la mise en œuvre du projet. MobiCare est une application mobile pour smartphone qui permet de mettre en relation les patients et les agents de santé et de prendre des rendez-vous de manière pratique. Les agents de santé autorisés à exercer et rattachés à des établissements de santé privés sont invités à s'inscrire volontairement à MobiCare.

Marie Chantal Umunyana

Fondatrice et directrice générale, Umubyeyi, Rwanda

Marie Chantal Umunyana, étudiante en médecine de 26 ans, est fondatrice et directrice générale d'Umubyeyi.

Umubyeyi a pour objectif de fournir des informations factuelles sur le bien-être de la mère et de l'enfant et sur l'éducation des enfants. Il s'agit d'une initiative de santé numérique destinée aux jeunes, aux jeunes couples, aux femmes enceintes et aux jeunes mères. Elle vise à rendre les informations sur la santé accessibles en appliquant une approche globale pour améliorer le bien-être de la mère et de l'enfant à l'aide d'outils technologiques.

L'égalité des genres est un droit humain fondamental et est essentielle pour un monde prospère, une Afrique dynamique.

Les femmes représentant la moitié de la population mondiale, il est plus que nécessaire de les autonomiser pour qu'elles puissent s'engager activement dans tous les domaines de la société.

L'égalité des genres soutient tous les fondements essentiels d'une économie saine et de nations prospères et est indispensable à la réussite collective de l'Afrique au regard des objectifs de développement durable.

Actuellement, on estime qu'il faudra plus de 120 ans pour combler les écarts entre les sexes en Afrique subsaharienne, et plus de 135 ans pour atteindre l'équité en matière de rémunération et de leadership. Historiquement, les femmes ont été exclues des espaces de décision et des programmes qui affectent leur santé et leur bien-être. La voix, la participation et le leadership sont essentiels à l'autonomisation des femmes.

Parvenir à l'égalité des genres est bénéfique pour tous, en donnant à chacun des chances égales au travail et dans la sphère publique. Il s'agit d'obtenir de meilleurs résultats en matière d'éducation et de santé, des taux de mortalité plus faibles et un revenu par habitant plus élevé.

L’initiative African LeadHERs a vu le jour à l’occasion du Forum Génération Egalité qui a eu lieu du 30 juin au 2 juillet à Paris, en France, organisé par ONU Femmes et co-présidé par les gouvernements de la France et du Mexique en partenariat avec la société civile et les jeunes. Cet événement avait pour objectif de prendre des engagements concrets en faveur de l’égalité hommes-femmes, suite à ceux pris à Beijing en 1995.

African LeadHERs a ainsi démarré par le biais d’une émission radio Parole aux Jeunes, organisée le 30 juin 2021 avec l’Alliance Nationale des Jeunes pour la Santé de la Reproduction (ANJSR) sur la thématique « Autonomie corporelle et droits en matière de santé reproductive et sexuelle » visant à donner la parole à des femmes engagées et actives dans ce domaine et discuter de solutions concrètes pour que les femmes en Afrique puissent prendre leurs propres décisions sur leur santé.

Par la suite, en collaboration avec la marque de mode sénégalaise Tongoro, un défilé de mode a été mis en place le 5 juillet, réunissant des leaders du monde de la culture et de l’art, afin d’inspirer et engager les femmes.

African LeadHERs soutient l'inclusion des femmes et des filles dans les plateformes publiques et le leadership et vise à encourager les femmes et les filles, dans toute leur diversité, à participer de manière significative aux espaces de prise de décision pour une meilleure santé publique.

L'égalité des genres est primordiale pour atteindre chacun des dix-sept objectifs de développement durable et, chez Speak Up Africa, nous nous engageons à transformer cette conviction en action et en engagement concrets.

Grâce au programme African LeadHERs, nous nous associons à des leaders de tous les secteurs de la société, y compris le sport, la mode, la culture et l'art, afin de travailler ensemble de manière créative pour construire un monde plus fort, plus juste et plus inclusif.

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