Le Forum des Maires d'Afrique pour la promotion de l'Assainissement Inclusif pour toute la ville réaffirme les engagements pris sur l'assainissement lors de la conférence FSM5/AfricaSan5

Les maires africains ont aujourd'hui renouvelé leur engagement à créer et améliorer des services d'assainissement inclusifs dans les villes africaines, à l'occasion du 20ème Congrès International et Exposition de l'AAE.

Le Forum des Maires du Congrès a permis à 12 maires de villes africaines de s'engager à renforcer les partenariats interurbains et d'accélérer la réalisation des objectifs du secteur WASH (Water, Sanitation, Hygiene) dans les centres urbains. Des stratégies ont été convenues pour déployer le programme 'Assainissement Inclusif pour toute la Ville' ou 'Citywide Inclusive Sanitation' (CWIS) afin d'atteindre un " accès à l'assainissement pour tous d'ici 2030. "

Erias Lukwago, maire de la ville de Kampala, a ouvert le Forum suivi par des discours introductifs de l'Association Africaine de l'Eau (AAE) et de la Fondation Bill & Melinda Gates. Africaine de l'Eau (AAE) et de la Fondation Bill & Melinda Gates. L'allocation principale est revenue à WaterAid et fut suivie des présentations de responsables municipaux et d'experts de l'assainissement. Les participants ont partagé leurs expériences acquises sur le terrain dans le cadre des progrès réalisés après la Déclaration des Maires du Cap en 2019, et ensuite discuté en formats table-rondes et en sessions de brainstorming des moyens de renforcer les partenariats interurbains.

Des chefs politiques d'autorités locales et de villes, des partenaires de développement, des organisations de la société civile (OSC), des directeurs généraux de services publics et du secteur privé, ainsi que des hauts fonctionnaires de toute l'Afrique ont également participé à l'événement.

Les participants ont dû s'engager et faire preuve de volonté politique en adoptant une approche innovante de financement et de développement de solutions techniques de l'assainissement. Les discussions ont porté sur la nécessité d'élaborer des approches globales pour améliorer l'assainissement, qui comprennent la planification à long terme, l'innovation technique, les réformes institutionnelles et la mobilisation financière, afin d'améliorer la vie et la santé des populations locales.

Sylvain Usher, directeur exécutif de l'Association Africaine de l'Eau (AAE) : " Avec des ressources financières et humaines limitées, un climat changeant et une urbanisation rapide et non planifiée, les villes ont du mal à faire face. En ce qui concerne l'assainissement en Afrique, l'approche " business as usual " ne fonctionne pas, et nous demandons aux villes et aux maires d'intensifier leurs efforts très rapidement et de prendre le contrôle sur l'assainissement. C'est pourquoi l'AAE est fière d'accueillir ce forum, et de contribuer à la réalisation de l'ODD 6.2. "

Juliana Gondwe, maire de Lilongwe, capitale du Malawi, ajoute : " L'accès à des installations sanitaires adéquates ne profite pas seulement aux citoyens, mais permet de progresser dans un large éventail de domaines allant de la santé au développement économique, de la durée de vie à la protection de l'environnement urbain, et en particulier en matière d'approvisionnement en eau et en nourriture. En tant que maire d'une ville qui croit très rapidement, je reconnais qu'il est de mon devoir de défendre les intérêts de mes concitoyens et de représenter au mieux leurs intérêts. Les maires jouent un rôle essentiel en tant que prestataires de services qui améliorent considérablement la vie des habitants. Sans leur engagement, il serait impossible d'effectuer les changements positifs dont nous avons besoin. Pour que les villes participent pleinement à la réalisation des objectifs du secteur WASH, il nous faut adopter des approches globales de l'amélioration de l'assainissement. "

Les objectifs du forum s'accordent parfaitement avec les objectifs de développement durable des Nations Unies et l'objectif de la déclaration de Ngor, nommément, assurer l'accès universel à des services d'assainissement et d'hygiène adéquats et durables et éliminer la défécation en plein air d'ici 2030.

Dans la plupart des villes africaines, plus de 90 % de la population dépend de services d'assainissement non-collectifs, dont une grande partie n'est pas améliorée et inadaptée. Avec une urbanisation de plus en plus rapide et une population très jeune, la pression sur les infrastructures d'assainissement en Afrique augmente de manière exponentielle. Les municipalités ont donc la responsabilité de plus en plus importante de fournir des installations sanitaires adéquates pour répondre aux besoins des villes. Rappelons que les mauvaises conditions d'assainissement entraînent des risques majeurs pour la santé publique, par exemple, les épidémies, la pollution, la la détérioration de la qualité de l'eau, en plus de résultats socio-économiques négatifs.

Le groupe Communication, Plaidoyer, Politiques et Sensibilisation sur les boues de vidange (CAPOOP) a lancé cette semaine sa toute première bourse des médias de l'assainissement. En marge du 20ème congrès de l'AAE, huit boursiers de toute l'Afrique ont participé à une formation médiatique avant de documenter les principaux événements du congrès.

CAPOOP est une alliance d'organisations engagées à assurer d'ici 2030 un accès équitable pour tous à un assainissement et une hygiène de qualité, et à mettre fin à la défécation en plein air, en accordant une attention particulière aux besoins des femmes, des jeunes filles et des personnes vulnérables. Un Africain sur trois vivant encore aujourd'hui sans installations sanitaires adéquates, il est plus important que jamais de sensibiliser les gens à la nécessité d'un assainissement durable et inclusif.

Compte tenu du manque de couverture médiatique de qualité et approfondie sur ces questions, CAPOOP, mené par Speak Up Africaa lancé en août une bourse des médias de l'assainissement à l'échelle du continent. Cette bourse permettra de sensibiliser les journalistes aux opportunités et aux défis du secteur et de faciliter leur accès aux actualités et évènements clés de l'assainissement en Afrique. Nous développons ainsi leur intérêt et leur capacité à écrire sur ces questions à moyen et long terme, et nous améliorons la qualité et la quantité de la couverture médiatique des questions d'assainissement. Représentant un large éventail de profils et d'organisations médiatiques influentes, les huit journalistes suivants ont été sélectionnés pour participer au programme :

Dans le cadre de leur candidature, chaque boursier a proposé un projet médiatique, conçu pour éclairer et sensibiliser le public à un problème d'assainissement dans leur pays. A l'issue de la formation, chaque boursier produira quatre articles au cours de l'année, avec les conseils et le soutien du groupe CAPOOP et d'experts des médias.

Cette formation a débuté lors du congrès de l'Association Africaine de l'Eau (AAE), un rassemblement biennal d'experts du secteur WASH (Water, Sanitation, Hygiene) venus de toute l'Afrique. Cette année à Kampala, en Ouganda, le Congrès 2020 de l'AAE vise à soutenir les avancées dans la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies, à savoir un accès adéquat à l'eau et à l'assainissement pour tous.

Pendant leur séjour en Ouganda, les journalistes boursiers assistent à des événements clés comme le prestigieux Forum des maires, ou encore le Forum des Femmes et le Forum des Jeunes, deux groupes avec des besoins uniques en matière d'assainissement. Tout au long du Congrès, les boursiers pourront également s'entretenir avec des personnalités du secteur de l'assainissement, une étape importante pour intensifier les échanges et partager des informations essentielles sur les problèmes et les solutions en matière d'assainissement.

Yacine Djibo, directrice exécutive de Speak Up Africa, déclare :

" Soutenir ces boursiers est un privilège et un honneur pour nous ; nous n'avons cessé de plaider en faveur du rôle crucial que jouent les journalistes vis-à-vis de l'action gouvernementale et de la responsabilité des gouvernants dans la mise en œuvre du changement. La bourse des médias de l'assainissement est un excellent moyen de renforcer les capacités des journalistes à rendre compte de ces questions, et il n'y a pas de meilleur endroit pour la lancer que le Congrès de l'AAE. "

Sylvain Usher, directeur exécutif de l'AAE ajoute :

" Engager les journalistes sur le thème de l'assainissement est l'un des meilleurs moyens de sensibiliser l'opinion et de diffuser les meilleures pratiques du secteur WASH et nous sommes fiers de participer à cette importante initiative en marge de notre Congrès cette année. En sélectionnant des journalistes d'horizons divers, avec différents domaines d'intérêt, et en les soutenant tout au long de l'année, nous serons en mesure de créer un changement positif. "

Abdullahi Tsanni, boursier des médias de l'assainissement du média digital African Newspage, Nigeria, commente :

" Je suis passionné par mon rôle de journaliste scientifique qui me permet de soutenir ma communauté. Mais le manque de ressources et de soutien vient souvent faire obstacle à la couverture médiatique. Cette bourse des médias CAPOOP me permet de faire ce que j'aime, tout en recevant le soutien d'experts. Participer au congrès de l'Association africaine de l'eau (AAE) sera une expérience précieuse pour moi et j'espère pouvoir continuer à faire des reportages sur cette question vitale. "

Nadège Christelle Bowa, boursière du journal Le Messager, Cameroun, conclut :

" Dans mon pays natal du Cameroun, l'insuffisance de l'accès à l'eau et l'assainissement est un problème de taille. En tant que journalistes, il est crucial que nous ayons accès à des données fiables afin de documenter la crise actuelle de l'assainissement en Afrique. C'est pourquoi cette bourse des médias CAPOOP est pour nous une formidable opportunité de créer le changement pour faire en sorte que les populations, les décideurs et les entreprises du secteur privé soient conscients de cette crise. Le moment est venu de donner la priorité à l'assainissement. "

La bourse des médias de l'assainissement est soutenue par un groupe d'organisations travaillant à l'amélioration des conditions d'assainissement en Afrique. Ces partenaires travaillent à l'avancement des programmes nationaux d'assainissement à travers tout le continent par le biais de la communication et du plaidoyer. Ils comprennent : l'Association africaine de l'eau (AAE), WaterAid, Speak Up Africal'Africa Population Health Research Center, Sanitation and Water for All (SWA), IRC (WASH), la Bill & Melinda Gates Foundation, Niyel, le Center for Water Security and Cooperation, le Conseil des ministres africains chargés de l'eau (AMCOW) et le programme de financement de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène de l'USAID.

23 février 2020, Kampala - Cette semaine, le groupe CAPOOP (Communications, Advocacy & Policy Opportunities and Outreach for Poop) a lancé sa toute première bourse pour les médias de l'assainissement. En marge du 20e Congrès de l'AAE, huit boursiers de toute l'Afrique ont participé à une formation aux médias avant de participer et de documenter les événements clés du Congrès.

CAPOOP est une alliance d'organisations de même sensibilité qui s'engagent à assurer l'accès à des l'assainissement et l'hygiène équitables pour tous, et mettre fin à la défécation en plein air, en payant une attention particulière aux besoins des femmes et des filles et des personnes en situation de vulnérabilité d'ici 2030. Et avec 1 Africain sur 3 vivant sans installations sanitaires adéquates, il est devenu plus important que jamais pour sensibiliser à la nécessité d'un assainissement inclusif et durable.

Compte tenu de la un faible volume de reportages de qualité et approfondis sur ces questions, en août CAPOOP, dirigé par Speak Up Africale lancement d'un média sur l'assainissement à l'échelle du continent de la bourse. La bourse pour les médias permettra d'informer les journalistes sur les possibilités et et améliorer leur accès aux principales nouvelles et mises à jour concernant l'assainissement en Afrique. Cela augmentera donc leur intérêt et capacité à écrire sur ces questions à moyen et long terme, en améliorant la qualité et la quantité de la couverture sanitaire. Représentant un large éventail d'organisations et de milieux médiatiques influents, à savoir huit journalistes ont été sélectionnés pour participer au programme :

Au cours de la procédure de candidature, chaque boursier ont proposé leur propre projet médiatique, conçu pour aborder ou sensibiliser un problème d'assainissement dans leur pays. Après la formation, chaque boursier des médias produira quatre articles tout au long de l'année, avec les conseils et le soutien du groupe CAPOOP, ainsi que des experts des médias.

Cette activité a débuté à l'African Water (AfWA), un rassemblement biennal de l'Association pour l'eau, l'assainissement et la Des experts en hygiène de toute l'Afrique. Se déroulant à Kampala, en Ouganda, l'AfWA Le Congrès 2020 cherche à s'appuyer sur les progrès réalisés pour atteindre les objectifs de développement durable de l'ONU les objectifs de développement d'un accès adéquat à l'eau et à l'assainissement pour tous.

Pendant leur séjour en Ouganda, les boursiers des médias de l'assainissement assister à des événements clés tels que le Forum des femmes et le Forum des jeunes, deux groupes avec des exigences sanitaires uniques, ainsi que le prestigieux Forum des Maires. Tout au long du Congrès, les boursiers pourront s'entretenir avec des personnalités de premier plan dans le secteur de l'assainissement, dans une étape importante de la la conversation et le partage d'informations vitales sur les problèmes d'assainissement et les solutions.

Yacine Djibo, directeur exécutif de Speak Up Africa déclare : "Soutenir ces boursiers est un privilège et un honneur pour nous ; nous n'avons cessé de plaider pour le rôle crucial que jouent les journalistes dans la responsabilisation des gouvernements et la mise en œuvre du changement. La bourse pour les médias de l'assainissement est un excellent moyen de renforcer la capacité de ces journalistes à rendre compte de ces questions, et il n'y a pas de meilleur endroit pour la lancer que le Congrès de l'AAE."

Sylvain Usher, directeur exécutif de l'AAE, ajoute : " S'engager avec des journalistes sur le thème de l'assainissement est l'une des meilleures façons de sensibiliser et de diffuser les connaissances et les meilleures pratiques sur les questions WASH et nous sommes fiers de participer à cette initiative importante en marge de notre Congrès cette année. En sélectionnant des journalistes de différents horizons, avec différents domaines d'intérêt, nous serons en mesure de créer un changement positif en soutenant ces journalistes tout au long de l'année." - Sylvain Usher

Abdullahi Tsanni, sélectionné comme boursier média d'African Newspage, originaire du Nigeria, commente : "Je me sens incroyablement passionné par mon rôle, en tant que journaliste scientifique, dans le soutien de ma communauté. Souvent, il y a des limites au reportage, qu'il s'agisse d'un manque de ressources ou de soutien. Cependant, cette bourse CAPOOP pour les médias me permet de faire ce que j'aime, tout en recevant le soutien d'experts. La participation au congrès de l'Association africaine de l'eau (AAE) sera une expérience précieuse pour moi et j'ai bon espoir de poursuivre mes reportages sur cette question vitale".

Nadège Christelle Bowa, sélectionnée par Le Messager, originaire du Cameroun, conclut : "Dans mon pays, le Cameroun, l'accès à l'eau et à l'assainissement constitue un véritable problème. En tant que journalistes, il est crucial que nous ayons accès à des données fiables sur l'assainissement afin de documenter la crise sanitaire qui sévit sur le continent. Cette bourse CAPOOP pour les médias est donc une formidable opportunité pour nous de faire changer les choses et de faire en sorte que les populations, les décideurs et les entreprises du secteur privé soient conscients de cette crise. Il est temps de donner la priorité à l'assainissement !"

La bourse pour les médias de l'assainissement est soutenue par un groupe d'organisations travaillant à l'amélioration des conditions d'assainissement en Afrique. Ces partenaires travaillent à travers l'Afrique en utilisant la communication et le plaidoyer pour faire avancer les programmes nationaux en matière d'assainissement . (AfWA), WaterAid, Speak Up Africa, le Centre de recherche sur la santé de la population africaine, Sanitation et l'eau pour tous (SWA), l'IRC (WASH), la Fondation Bill & Melinda Gates Foundation, Niyel, le Centre pour la sécurité de l'eau et la coopération, le Conseil Conseil des ministres africains de l'eau (AMCOW) et le programme programme de financement de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène de l'USAID.

Le Ministre de l'Eau et de l'Assainissement, Monsieur Serigne Mbaye THIAM, a effectué, ce mardi 21 janvier 2020, une visite des installations innovantes d'assainissement autonome de la région de Dakar.

L'objectif de cette visite est de mettre en exergue les avancés du Sénégal en matière d'assainissement autonome qui est le système le plus répandu au Sénégal pour la gestion des eaux usées domestiques. Dans les zones urbaines du Sénégal, la moitié de la population n'a pas accès à des infrastructures d'assainissent adéquates. Cette situation se traduit par une production considérable de boues de vidange, la plupart du temps déversées sans traitement dans l'environnement.

Dans ce contexte, l'État et ses partenaires techniques et financiers ont consenti d'énormes efforts pour l'amélioration des conditions d'assainissement des populations. En 2011, le Ministère de l'Eau et de l'Assainissement, à travers l'Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS) a mis en place, avec l'appui financier de la Fondation Bill et Melinda Gates, un Programme pilote de Structuration du Marché des Boues de Vidange (PSMBV), afin d'offrir un cadre de vie décent aux ménages démunis en leur assurant l'accès à des installations d'assainissement et des services de vidange mécanique de meilleure qualité et à des prix abordables.

Le programme pilote et sa phase de transition, à à travers ses réalisations, ont permis d'améliorer considérablement les conditions de vie des populations de Pikine et Guédiawaye et a permis de créer un marché pour l'activité de vidange.

Cela a permis d'enregistrer les acquis majeurs, ci-après :

Fort de ces acquis, la mise à l'échelle du PSMBV, dans les 14 régions du Sénégal, est en train de se faire à travers :

Cette Direction a l'ambition de faire de l'assainissement autonome un pilier essentiel pour l'atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) qui, au point 6.2, visent " à assurer d'ici à 2030, l'accès de tous, dans des conditions équitables à des services d'assainissement et d'hygiène adéquats et à mettre fin à la défécation en plein air, en accordant une attention particulière aux besoins des femmes, des filles et des personnes en situation vulnérable ".

Parlez-en Up Africa, un groupe d'action pour la politique et le plaidoyer, et l'Association africaine de l'eau (AAE), une l'Association Africaine de l'Eau (AAE), une plateforme continentale qui rassemble des organisations du secteur de l'eau et de l'assainissement. dans le secteur de l'eau et de l'assainissement, ont le plaisir d'annoncer un partenariat officiel. Ce partenariat permettra de soutenir la mise en œuvre de la Vision africaine de l'eau pour 2025 et de promouvoir le partage des connaissances sur le secteur africain de l'eau et de l'assainissement. et de l'assainissement.

Les deux organisations ont signé un protocole d'accord (MoU) en marge de l'accord Bill & Melinda Réunion des partenaires eau, assainissement et hygiène de la Fondation Gates à Lusaka, Zambie le mois dernier.

Grâce à une étroite collaboration, cet permettra aux deux partenaires de faire participer davantage les intervenants clés sur les questions liées à l le secteur de l'eau et de l'assainissement. En outre, l'AAE et Speak Up Africal d'harmoniser leurs activités en partageant leur expertise et leurs ressources de communication pour encore plus d'impact.  

Aujourd'hui, une personne sur trois vit toujours sans installations sanitaires adéquates en Afrique, ce chiffre passant à 75 % en Afrique de l'Ouest. Des installations sanitaires inadéquates peuvent conduire à une mauvaise santé, à la propagation des maladies et à la persistance de la pauvreté. La collaboration intersectorielle est la clé pour obtenir des résultats qui changeront la vie des personnes touchées par le manque d'accès à l'assainissement et à l'hygiène.

Les initiatives d'approvisionnement en eau et d'assainissement entreprises par des organisations du monde entier ont cherché à fournir des toilettes, à creuser des latrines, et plus encore. D'autres projets se concentrent sur la formation des communautés à l'utilisation et à l'entretien de ces installations, tandis que d'autres investissements ont porté sur la sensibilisation à l'hygiène, encourageant des comportements sains par des campagnes créatives. L'eau potable, l'assainissement et l'hygiène - tout comme l'extrême pauvreté elle-même - sont des défis qui exigeront nos efforts collectifs et de collaboration. Il s'agit d'un problème trop important qui a un impact trop important pour qu'une seule organisation soit laissée à elle-même pour le résoudre. 

Mme Yacine Djibo, fondatrice et directrice exécutive de Speak Up Africa, a déclaré : "Nous sommes ravis de nous associer à une organisation qui partage notre conviction profonde que personne ne devrait vivre sans eau et installations sanitaires adéquates. L'AAE a joué un rôle déterminant dans l'avancement de l'accès à l'eau potable et l'amélioration de l'assainissement à travers l'Afrique, et nous espérons qu'en unissant et en amplifiant nos voix, nous serons en mesure d'accélérer le changement positif."

M. Sylvain Usher, Directeur exécutif de l'AfWa, a déclaré : "L'eau et l'assainissement sont des biens publics, il y a donc un fort besoin de sensibilisation des autorités pour développer ce secteur. Une organisation comme Speak Up Africa a une expérience avérée en matière de plaidoyer et ce partenariat stratégique avec l'AFWA nous permettra d'unir nos forces pour faire de l'eau et de l'assainissement une priorité pour nos gouvernements pour le bien-être des populations. "

Speak Up Africa, un groupe d'action politique et de plaidoyer, et l'Association africaine de l'eau (AAE), une plate-forme continentale qui rassemble des organisations du secteur de l'eau et de l'assainissement, sont heureux d'annoncer le lancement d'un partenariat formel. Cette collaboration soutiendra la mise en œuvre de la Vision africaine de l'eau pour 2025 et favorisera le partage des connaissances au sein du secteur africain de l'eau et de l'assainissement.

Les deux organisations ont signé un protocole d'accord en marge de la réunion des partenaires " Eau, assainissement et hygiène " de la Fondation Bill & Melinda Gates qui s'est tenue tenue à Lusaka, Zambie, le mois dernier.

En favorisant une étroite collaboration, cet accord permettra aux deux partenaires d'impliquer davantage les principales parties prenantes dans les questions relatives au secteur de l'eau et de l'assainissement. En outre, l'AAE et Speak Up Africavont aligner leurs activités en partageant leur expertise et leurs ressources en matière de communication pour maximiser leur impact.

Aujourd'hui, une personne sur trois vit encore sans installations sanitaires adéquates en Afrique, ce chiffre atteignant jusqu'à 75 % en Afrique de l'Ouest. L'insuffisance des installations sanitaires peut entraîner des problèmes de santé, la propagation des maladies et la persistance de la pauvreté. La collaboration intersectorielle est clé pour obtenir des résultats concrets et ainsi changer les conditions de vie des personnes grâce à un meilleur accès à l'assainissement et à l'hygiène.

Les initiatives d'approvisionnement en eau et d'assainissement autour desquelles se sont mobilisées des organisations du monde entier ont permis d'installer des toilettes, de creuser des latrines, et plus encore. D'autres projets se concentrent sur la formation des communautés à l'utilisation et à l'entretien de ces installations, tandis que d'autres investissements ont porté sur la sensibilisation à l'hygiène, encourageant des comportements sains par des campagnes créatives. L'eau potable, l'assainissement et l'hygiène - tout comme l'extrême pauvreté elle-même - sont des défis qui exigent des efforts collectifs et collaborateurs. Il s'agit d'un problème trop important et d'un impact trop considérable pour qu'une seule organisation puisse répondre à ces enjeux.

Mme Yacine Djibo, fondatrice et directrice exécutive de Speak Up Africa, déclare : " Nous sommes très heureux de nous associer à une organisation qui partage notre conviction profonde : personne ne devrait vivre sans eau et sans installations sanitaires adéquates. L'AAE a joué un rôle déterminant dans la promotion de l'accès à l'eau potable et dans l'amélioration de l'assainissement en Afrique, et nous espérons qu'en unissant nos voix, nous serons en mesure d'accélérer les changements positifs. "

M. Sylvain Usher, directeur exécutif de l'AAE, conclut: " L'eau et l'assainissement sont des biens publics, il est donc nécessaire de sensibiliser les autorités pour développer ce secteur. Une organisation comme Speak Up Africa a une expérience éprouvée en matière de plaidoyer. Ce partenariat stratégique avec l'AAE nous permettra d'unir nos forces pour faire de l'eau et de l'assainissement une priorité de nos gouvernements pour le bien-être des populations. "

Dr Mwelecele Ntuli Malecela, Directrice du Département de lutte contre les maladies tropicales négligées, Organisation mondiale de la santé

Plus d'un milliard de personnes dans 149 pays sont touchées par les maladies tropicales négligées (MTN). Pourtant, comme leur nom l'indique, elles reçoivent peu d'attention et restent encore aujourd'hui largement ignorées.

Les MTN touchent principalement les zones rurales marginalisées où elles infligent non seulement d'immenses souffrances aux communautés, mais pèsent aussi lourdement sur le développement social et économique de communautés entières.

Il est important de noter que cinq des MTN les plus répandues peuvent être évitées grâce à des médicaments à efficacité prouvée et distribués gratuitement. L'administration de ces derniers à l'ensemble des personnes affectées ou exposées à ces maladies est en outre relativement simple.

Consciente du lien vital entre les MTN et l'accès à l'eau, à l'assainissement et à l'hygiène(WASH : Water, Sanitation, Hygiene), l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé en 2015 une stratégie WASH mondiale 2015-2020 pour accélérer et soutenir les progrès contre les MTN. L'OMS a en outre publié en janvier 2019 un outil WASH - MTN pour renforcer les partenariats, informer des programmes et soutenir les interventions de contrôle.

Aujourd'hui malheureusement, 2,4 milliards de personnes n'ont toujours pas accès à des installations sanitaires de base et 663 millions n'ont pas accès à des sources adéquates d'eau potable.

Le manque d'eau potable et d'assainissement amélioré diminue la qualité de vie. De plus, les patients souffrant de MTN telles que la filariose lymphatique et la lèpre doivent disposer d'eau propre pour gérer leurs symptômes. La dracunculose, l'ulcère de Buruli et la leishmaniose cutanée provoquent des plaies qui nécessitent des soins prolongés, et ces deux dernières maladies nécessitent souvent une opération chirurgicale et une hygiène personnelle rigoureuse pour que le traitement soit efficace.

Les scientifiques ont démontré que l'eau propre réduit considérablement les risques de contraction de la schistosomiase - une infection parasitaire causée par des vers présents en eau douce. L'incidence du trachome, qui peut entraîner une cécité irréversible, peut quant à elle être réduite par l'accès à l'assainissement. Enfin, les programmes de prévention et de traitement de masse contre les MTN requièrent, eux aussi, de l'eau propre et potable pour être efficaces.

En nous concentrant sur l'impact de la composante WASH sur les MTN, nous faisons un pas de plus vers l'élimination de certaines de ces maladies de la pauvreté. Les services WASH améliorent la santé et la prospérité des communautés. Mais pour que WASH fonctionne efficacement, les secteurs privé et public doivent mobiliser leur expertise technique et leurs ressources et, plus important encore, doivent s'assurer non seulement que les investissements atteignent les populations concernées mais aussi qu'ils aient les effets positifs escomptés auprès des communautés affectes.

Au cours des 20 dernières années, depuis que l'OMS a donné la priorité à l'élimination du trachome, le Ghana est devenu le premier pays d'Afrique subsaharienne à éliminer cette maladie comme problème de santé publique.

En associant leurs efforts, les partenaires ont déployé avec succès la stratégie SAFE endossée par l'OMS, qui inclut des traitements chirurgicaux, antibiotiques, des pratiques d'hygiènes du visage et l'amélioration des conditions de vie. Le lien entre ces différents aspects est indéniable et nous pouvons d'ores et déjà tiré une conclusion l'accès à l'eau potable et à l'assainissement de base contribue à prévenir les MTN et facilitent le traitement des malades.

Pourtant, malgré ces progrès, il reste encore beaucoup à faire.

Le soutien fourni par les compagnies pharmaceutiques, les gouvernements et les donateurs privés a eu un impact énorme sur la réduction et l'élimination des MTN. C'est pourquoi la nouvelle feuille de route sur les MTN 2021-2030 encourage et s'appuie sur le leadership et la contribution des pays affectés.

Les trois priorités stratégiques de cette nouvelle feuille de route sont d'accélérer l'action des programmes, d'intensifier les approches transversales et d'optimiser les modèles opérationnels et la culture. Plus précisément, nous allons travailler pour atteindre l'objectif " triple milliard " de l'OMS pour faire en sorte que d'ici 2023 plus d'un milliard de personnes bénéficient de la couverture sanitaire universelle ; un milliard de personnes supplémentaires bénéficient d'une meilleure protection contre les urgences sanitaires ; et enfin, un milliard de personnes supplémentaire soient dans un meilleur état de santé.

Si les objectifs de la nouvelle feuille de route peuvent paraitre ambitieux compte tenu de l'instabilité politique, de l'incertitude qui plane sur la finance mondiale et de la charge considérable que représentent les MTN, ils sont néanmoins réalisables avec la participation des pays qui sera cruciale pour une mise en œuvre œuvre réussie des programmes.

Aujourd'hui plus que jamais, la nouvelle feuille de route met en avant la nécessité d'une collaboration intersectorielle. Les secteurs privé et public collaborent déjà avec les gouvernements pour promouvoir l'élimination efficace et définitive des MTN. Mais les pays deviennent de plus en plus conscients qu'ils doivent s'investir dans l'élimination des MTN et se placer au cœur du combat. 

Le Projet spécial élargi pour l'élimination des maladies tropicales négligées (ESPEN) a été créé en 2016 en vue d'accroître la coopération internationale et ainsi accélérer l'élimination des cinq MTN les plus courantes. ESPEN travaille sans relâche pour réaliser sa vision d'une Afrique exempte de MTN. Le projet contribue à l'objectif plus large de l'OMS de couverture sanitaire universelle, de viabilité à long terme et de renforcement des systèmes de santé grâce à une responsabilisation des pays concernés qui prendront désormais la direction des programmes de contrôle et d'élimination et de partage des données pour une action fondée sur des faits établis.

Avec seulement 0,6 du financement mondial alloué à la lutte contre les MTN, nous avons un besoin urgent de ressources supplémentaires. Grâce à un leadership et un engagement soutenu, nous pouvons intégrer durablement les programmes MTN aux systèmes de santé, plutôt que de les associer de façon ad hoc.

À bien des égards, des infrastructures WASH inadéquates et la présence des MTN révèlent une inégalité au sein des communautés.

La prévalence des MTN et l'insuffisance des services WASH posent des défis mondiaux majeurs car elles perpétuent un cercle vicieux de pauvreté et de maladie. En améliorant l'un, nous contribuons à éliminer l'autre.

Personne ne devrait être laissé pour compte, surtout pas à cause de quelque chose de quelque chose d'aussi " fondamental ". que l'accès à des installations WASH adéquates.

Nous devons non seulement prendre des mesures, mais aussi les maintenir sur le long terme. Renouvelons notre engagement à éliminer ces maladies de la pauvreté.

Parce que je veux voir une Afrique exempte de maladies tropicales négligées, j'ai signé la pétition " Non aux MTN ", et je vous encourage à faire de même.   

Il est temps de dire " Non aux MTN ". Il est temps de se faire entendre, de prendre position et d'agir.

Dr Mwelecele Ntuli Malecela, directeur, département de lutte contre les maladies tropicales négligées de l'OMS

Négligé Les maladies tropicales (MTN) touchent plus d'un milliard de personnes sur 149 pays dans le monde entier. Pourtant, comme leur nom l'indique, ils restent largement cachés et reçoivent peu d'attention.

MTN sont principalement distribués dans les zones rurales et marginalisées où ils infligent non seulement des souffrances immenses sur les communautés affectées, mais ont aussi un impact négatif sur la société. et le développement économique de populations entières.

C'est intéressant, cinq des cas les plus courants MTNpeuvent être évités grâce à des dons sécuritaires et de qualité assurée. des médicaments qui peuvent être facilement administrés à l'ensemble des personnes affectées et à risque populations.

Un des approches clés pour réduire la prévalence de la maladie MTNest l'amélioration de l'accès à l'eau potable. eau, assainissement et hygiène (WASH). Reconnaissant le lien vital qui existe entre le MTN et WASH, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé en 2015 une stratégie mondiale WASH. 2015-2020 afin d'accélérer et de maintenir les progrès dans ce MTNdomaine et, en janvier 2019, a publié le une boîte à outils WASH-NTD pour construire des partenariats plus solides, façonner des programmes et apporter un soutien. les interventions de contrôle.

Malheureusement, Aujourd'hui, quelque 2,4 milliards de personnes n'ont toujours pas accès à un assainissement de base. et 663 millions n'ont pas accès à des sources améliorées d'eau potable.

Manque de l'eau potable et de l'assainissement diminue la qualité de vie. De plus, les patients souffrant de nombreuses MTNmaladies telles que la filariose lymphatique et la lèpre doivent être propres. de l'eau pour gérer leurs symptômes. Dracunculose, ulcère de Buruli et ulcère cutané la leishmaniose cause des plaies qui nécessitent des soins prolongés, ces deux derniers types de leishmaniose maladies nécessitant souvent une intervention chirurgicale et une hygiène personnelle rigoureuse pour assurer traitement efficace.

Scientifique les examens démontrent que l'eau salubre réduit considérablement les risques de contracter la schistosomiase - une infection parasitaire causée par des vers qui habitent l'eau douce. L'incidence du trachome, qui peut causer une cécité irréversible, peut être abaissée par l'accès aux soins. à l'assainissement. Même les programmes de traitement de masse pour la prévention et le traitement du MTN ont besoin d'eau potable salubre pour être efficaces.

Par en nous concentrant sur l'impact de l'AEPHA sur MTNet sur leur relation, nous sommes en train de un pas de plus vers l'élimination de certaines de ces maladies de la pauvreté. WASH peut améliorer la santé, la prospérité et la durabilité. Mais pour que WASH fonctionne Les secteurs privé et public doivent cependant mobiliser efficacement les ressources techniques et financières nécessaires à la mise en œuvre de la politique de l'eau. et, plus important encore, veiller à ce que les investissements atteignent les personnes touchées. et faire une différence pour les communautés affectées.

Dans les 20 années qui se sont écoulées depuis que l'OMS a donné la priorité à l'élimination du trachome - un des principaux objectifs de l cause infectieuse de la cécité - Le Ghana est devenu le premier pays d'Afrique subsaharienne pour éliminer la maladie en tant que problème de santé publique.

Par en travaillant ensemble, les partenaires ont réussi à mettre en œuvre le programme SAFE, approuvé par l'OMS. qui englobe la chirurgie, les antibiotiques, la propreté du visage et le traitement de l'acné. l'amélioration de l'environnement. Les liens qui les unissent sont forts, et une conclusion décisive l'accès à l'eau potable et à l'assainissement de base peut contribuer à prévenir les risques d'infection par le MTN et d'aider au traitement.

Mais malgré le fait que le progrès, il reste beaucoup à faire.

Le le niveau de soutien fourni par les sociétés pharmaceutiques, les gouvernements et le secteur privé Les bailleurs de fonds ont eu un impact énorme en réduisant et en éliminantMTN... Toutefois, cette ne nous amènera pas à l'élimination des ATN, c'est pourquoi la nouvelle ATN la feuille de route 2021-2030 s'appuie sur une forte implication des pays et plaide en leur faveur et de leadership.

Les trois Les priorités stratégiques de cette nouvelle feuille de route sont d'accélérer l'action programmatique, intensifier les approches transversales et modifier les modèles de fonctionnement et la culture. Plus précisément, nous visons à atteindre les "trois milliards d'objectifs" de l'OMS pour garantir que, d'ici 2023, un milliard de personnes supplémentaires bénéficieront d'une couverture maladie universelle ; un milliard de personnes de plus bénéficient d'une meilleure protection contre les urgences sanitaires ; et un milliard de personnes de plus jouissent d'une meilleure santé et d'un meilleur bien-être.

Bien que les objectifs de la nouvelle feuille de route pourraient être ambitieux compte tenu de la situation financière mondiale. l'incertitude, l'instabilité politique et le fardeau généralisé deMTN, ils sont faisable : la participation des pays sera cruciale pour la réussite de la mise en œuvre de programmes.

La nouvelle reconnaît plus que jamais la nécessité d'une collaboration intersectorielle. Les secteurs privé et public travaillent en collaboration avec l Les gouvernements doivent promouvoir l'élimination efficace et durable desMTN... En outre, les pays membres de l sont de plus en plus conscients qu'ils doivent investir dans l'élimination duMTN en se plaçant au centre du combat. 

Pour d'accroître la collaboration internationale, le Projet spécial élargi pour la recherche sur le Élimination des maladies tropicales négligées (ESPEN) a été créée en 2016 pour accélérer l'élimination des cinq maladies les plus répandues MTN. ESPEN travaille sans relâche de réaliser sa vision d'une Afrique libérée deMTN... Elle contribue à l'élargissement de l'action de l Objectif de l'OMS en matière de couverture sanitaire universelle, de viabilité à long terme et de viabilité à long terme le renforcement des systèmes de santé grâce à l'appropriation et à la direction par les pays des activités de l les programmes de contrôle et d'élimination, et le partage des données en vue d'une action fondée sur des données probantes.

Avec seulement 0,6 % du financement global pour le contrôle de la maladieMTN, nous avons besoin de toute urgence de plus d'argent. ressources. Grâce à un leadership et à un engagement solides, nous pouvons obtenir des résultats durables. qui sont intégrés dans les systèmes de santé, et non ajoutés en tant que programmes après coup.

Dans L'accès inadéquat à l'eau, à l'assainissement et à l'hygiène et MTNsont des signes d'inégalité.

Le la prévalence MTNet l'inadéquation des services d'AEPHA posent des défis majeurs à l'échelle mondiale alors qu'ils perpétuent un cercle vicieux de pauvreté et de maladie. En améliorant l'un d'entre eux, nous peut aider à éliminer l'autre.

Non il faut être laissé pour compte, surtout pas à cause de quelque chose d'aussi "basique" que l'accès à des installations d'eau, d'assainissement et d'hygiène adéquates.

Nous doivent non seulement agir, mais aussi soutenir l'action. Renouvelons notre de faire en sorte que ces maladies de la pauvreté soient éliminées.

I et c'est la raison pour laquelle j'ai signé le "Non à l'Afrique de MTNl'Ouest". MTN" pétition. J'espère que vous aussi.

Il est temps de dire "Non à MTN". Il est temps que nous parlions, que nous agissions et que nous agissions.

Il faut se réveiller. Il faut réaliser que des millions de personnes vivent sans accès à des services d'assainissement adéquats. Il faut prendre conscience que nos efforts sont encore insuffisants pour mettre un terme à cette situation. Certes les engagements politiques et la solidarité internationale ont placé l'assainissement au premier rang des priorités de la communauté mondiale du développement. Mais les budgets nationaux sont trop faibles et la réponse internationale trop fragmentée pour créer un changement profond et profond durables. Saisissons l'opportunité de cette Journée mondiale des toilettes pour demander des réponses. Comment transformer les promesses et les paroles en actions concrètes ?

En 2015, les ministres africains se sont réunis au Sénégal et ont adopté la Déclaration de Ngor sur l'assainissement et l'hygiène. Cette déclaration a une vision simple mais forte : mettre en place des services d'assainissement et d'hygiène adéquats et équitables pour tous et mettre fin à la défécation en plein air d'ici 2030.

Pourtant, une personne sur trois vit aujourd'hui aujourd'hui encore sans installations sanitaires adéquates, un chiffre qui atteint 75% en Afrique de l'Ouest. De ce fait, dans les communautés rurales de 14 pays d'Afrique subsaharienne, la défécation en plein air est toujours une pratique très très répandue, et entraîne la transmission de maladies qui les maintiennent dans des cercles de pauvreté.

Les progrès peuvent être freinés de plusieurs façons, par le manque d'engagement, le manque de suivi ou simplement par un manque de connaissances. Par exemple, si 28 pays d'Afrique ont élaboré des stratégies en matière d'assainissement et d'hygiène, seulement 8 ont entrepris des études sur leur durabilité. Pourtant, la durabilité des programmes d'assainissement et d'assainissement d'hygiène devrait être une priorité. Si un programme ou une stratégie n'est pas viable, la répétition des problèmes est inévitable. De nombreux pays légifèrent sur l'assainissement et l'hygiène, mais seuls 6 d'entre eux publient des résultats chaque année. Sans résultats visibles, comment évaluer le succès d'un programme et comment l'améliorer ? Alors, tout en nous félicitant des avancées avancées réalisées, nous appelons à accélérer et renforcer notre action avec la durabilité des programmes comme priorité stratégique.

Le manque d'assainissement ne pèse pas seulement sur la vie présente des populations, mais affecte également leur avenir. Les enfants, en particulier les jeunes filles, s'absentent souvent de l'école à cause d'une hygiène inadéquate. En les privant ainsi d'éducation, c'est leur avenir qu'on limite. Faire en sorte que les espaces publics comme les écoles disposent d'installations sanitaires adéquates adéquates peut sembler insignifiant, mais cela pourrait faire une énorme différence dans la vie de millions de personnes.

Pour faire faire reculer l'insalubrité, les organisations d'assainissement et de plaidoyer ont un rôle important à jouer en agissant au nom des populations qu'elles représentent. Combler le fossé entre les gouvernements et les citoyens n'est pas une tâche facile, mais c'est un rôle clé. Ensemble, nous sommes plus forts et nos voix portent plus loin. En nous engageant et en soutenant la cause de l'assainissement, nous prendrons non seulement des mesures indispensables, mais aussi des mesures durables. Des mesures qui éviteront à la prochaine génération de devoir affronter les mêmes problèmes.

L'une des mesures les plus pertinentes que nous pourrions pourrions prendre pour favoriser cette durabilité est l'intégration, notamment des sexospécificités, des politiques d'assainissement. Les femmes et jeunes filles sont les plus touchées par le manque d'eau et d'assainissement. Sans cette inclusivité, les initiatives seront inefficaces. C'est pourquoi Speak Up Africa soutient la création des Orientations des Politiques d'Assainissement en Afrique. Sous l'égide du Conseil des ministres africains de l'eau, ces orientations joueront un rôle essentiel dans l'élaboration de la future feuille de route sur l'assainissement en Afrique. L'élaboration de telles directives facilite la conception, la mise en œuvre et le suivi d'une politique d'assainissement globale et inclusivement. Bien que l'assainissement ne soit pas particulièrement glamour, c'est une situation à laquelle nous devons apporter des réponses concrètes. L'assainissement est plus qu'un accès aux toilettes, c'est une question de dignité, d'opportunité et de sécurité pour le grand public.

L'assainissement est un droit humain fondamental pour lequel nous ne devrions pas avoir à nous battre. En cette Journée mondiale des toilettes, nous appelons les gouvernements et les communautés à travailler ensemble pour soutenir ces objectifs. Les discours sont importants, mais il le temps est maintenant à l'action.

Par Yacine Djibo, Fondatrice et directrice exécutive de Speak Up Africa

C'est un l'heure de se réveiller. Réveillez-vous au fait que des millions de personnes vivent sans l'accès à l'assainissement. Réveillez-vous au fait que nous n'en faisons pas assez pour arrêter ceci. Il est vrai que l'augmentation des engagements politiques et des engagements internationaux L'intérêt porté à l'assainissement a placé l'assainissement au premier rang des priorités de la communauté mondiale du développement. Toutefois, les budgets nationaux sont encore trop faibles pour contribuer à la mise en œuvre d'un véritable changement, et la réponse internationale est trop fragmentée. Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée mondiale des toilettes, c'est un C'est le bon moment pour faire pression pour obtenir des réponses. Comment pouvons-nous transformer les promesses et les mots en une action significative ?

Dans 2015, les ministres africains se sont réunis au Sénégal et ont adopté la Déclaration de Ngor sur les droits de l'homme. Assainissement et hygiène. Cette déclaration avait une vision simple mais forte : il s'agissait de assurer des services d'assainissement et d'hygiène adéquats et équitables pour tous et à mettre fin à la défécation en plein air d'ici 2030.

Pour l'instant, Aujourd'hui, 1 personne sur 3 vit encore sans installations adéquates, un chiffre qui ne cesse de croître. passe à 75% en Afrique de l'Ouest. En conséquence, les communautés rurales de 14 pays de la région de l L'Afrique subsaharienne continue de pratiquer principalement la défécation à l'air libre, ce qui peut conduire à à la transmission de maladies et à l'augmentation de la pauvreté.

Progrès réalisés peut être freinée de plusieurs façons, qu'il s'agisse d'un manque d'engagement, d'un manque d'engagement ou d'un manque d'expérience. ou simplement un manque de connaissances. Par exemple, bien que 28 pays en Afrique ont créé des plans stratégiques en matière d'assainissement et d'hygiène, seuls 8 d'entre eux ont mis en place des plans stratégiques en la matière. a entrepris des recherches sur les facteurs de sa durabilité. En fait, nous devrions établir des priorités et évaluer la durabilité des programmes d'assainissement et d'hygiène. Si un programme ou une stratégie n'est pas durable, les problèmes ne feront que se répéter. eux-mêmes. De nombreux pays incluent l'assainissement et l'hygiène dans leur législation, mais seulement 6 d'entre eux publient des résultats chaque année. Sans résultats visibles, comment sommes-nous Comment peut-on accéder au succès d'un programme et voir les moyens de l'améliorer ? Ainsi, pendant que des mesures sont prises, nous avons vraiment besoin d'une action accélérée et d'une approche stratégique. à l'amélioration durable de l'assainissement.

Le La réalité est que l'assainissement n'affecte pas seulement les gens aujourd'hui, il affecte aussi leur vie quotidienne. l'avenir aussi. Les enfants manquent souvent l'école à cause d'une hygiène inadéquate, en particulier les jeunes filles. En s'absentant de l'école, les enfants sont privés d'éducation et leur avenir est limité. Veiller à ce que les espaces communs, comme les écoles, aient des installations sanitaires adéquates peuvent sembler être un petit pas, mais cela pourrait faire un pas de plus dans la bonne direction. une différence énorme dans la vie de millions de personnes.

Pour Pour renverser la situation, les organismes d'assainissement et de défense des droits ont un rôle à jouer dans la lutte contre la pauvreté. rôle important à jouer en agissant au nom des gens qu'ils représentent. Combler le fossé entre les gouvernements et les citoyens n'est pas chose aisée, mais il est difficile de le combler. est un rôle clé. Ensemble, nous sommes plus forts et nos voix sont plus fortes. Par en veillant à ce que nous soyons engagés et soutenions la cause, non seulement nous nous assurerons que non seulement les mais une action durable. Une action qui assure le prochain n'auront pas les mêmes discussions.

Peut-être l'une des mesures les plus importantes que nous pourrions prendre pour assurer cette durabilité est la suivante pour que les politiques d'assainissement tiennent compte des sexospécificités et soient inclusives. Aujourd'hui, les femmes et les Les filles sont les plus touchées par le manque d'eau et d'assainissement. Sans le création de politiques inclusives, les initiatives d'assainissement seront inefficaces. Que C'est pourquoi Speak Up Africale soutien à la création d'une politique africaine d'assainissement Lignes directrices. Sous la direction du Conseil des ministres africains chargés de l'eau, ces lignes directrices joueront un rôle essentiel dans l'élaboration du futur exposé des faits de l'assainissement en Afrique. Grâce à l'élaboration de telles lignes directrices, la conception, la mise en œuvre et le suivi d'une politique d'assainissement globale et inclusive est plus facile. Bien qu'il n'y ait rien de glamour dans le domaine de l'assainissement, celui-ci doit encore être discutés. L'assainissement, c'est plus que des toilettes. L'assainissement, c'est assurer la dignité, la possibilité et la sécurité du public.

L'assainissement est un droit humain fondamental pour lequel nous ne devrions pas avoir à nous battre. En cette Journée mondiale des toilettes, nous appelons davantage de gouvernements et de communautés à travailler ensemble pour soutenir ces objectifs. C'est bien de parler, mais il est temps d'agir.

Par Yacine Djibo, fondateur et directeur exécutif, Speak Up Africa

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